


FRA ROBERTO, écrivaillon, est un mystère.
Existe-t-il?
Si oui, il est sans nul doute un homme qui a honte d’écrire de telles inepties!
Et pourtant, il les écrit! Et il ose les présenter à un éditeur intrépide. En s’en lavant les mains!
Là, il compose des intrigues destinées à mener les lecteurs dans des fins improbables, le long d’un parcours peuplé de personnages qui mégalos, qui ineptes, souvent nuls.
Quoi qu’il en soit, quel que soit l’être humain (on peut l’espérer) qui se cèle derrière ce pseudonyme, sa série des enquêtes du commissaire Fra Roberto a surtout l’ambition d’amuser le lecteur et la lectrice, de leur faire touiller quelque peu dans les ennuis de la vie, mais en s’en moquant … bref d’être correctement politiquement incorrect.
La série Fra Roberto
Fra Roberto : une série où les enquêtes farfelues, la plaisanterie gauloise et les outrances hilarantes ne masquent pas la profonde humanité de l’auteur, ni sa passion pour les ouvrages culturels de l’humain, ni sa compréhension des détresses causées par les mécanismes de la Société, de la Politique, du Pouvoir et de la Justice.










Publications

Fra Roberto présente:
Kinoma, la demi-Vampire
Kinoma est une agente occulte d’un service secret créé par la Collectivité afin de réguler et régler les problèmes d’interaction et éventuelles frictions entre la Société humaine et la Collectivité. Il est dirigé d’une main ferme par le totalement anonyme Nil-Tronche.

Afin de faire connaissance, voici une brève enquête de Fra Roberto - Brève, mais gratuite!
L’agence Veniat Candor Velociter s’est donnée pour mission de résoudre, à la demande des familles, des affaires de personnes disparues, voire d’assassinats irrésolus, froidement classés « en suspens ».
Mais, comme on dit, qui veut les épinards veut le beurre. Faut bien bouffer, sinon où irait un détective affamé : dans le mur. La soupe popu, pas notre truc à Sélim et à moi. Nous apprécions les épinards.
Nous acceptons donc, de ci, de là, des affaires plus banales, plus nourricières pour le porte-monnaie. En voici une, extraite de nos (très jeunes encore) archives.